Corps glisse
dans les bras
de l’éveil
sobrement,
vibrant sur
note basale.
S’assemblent alors
des états du soi
en une ramure
apte à la
facétie
du quatrain…
Pétrir le soi
porte joie
à la substance.
Corps-éveil
résorbe sans hâte
corps-sommeil
jusqu’au
point du
lâcher-prise.