Corps glisse
dans les bras
de l’éveil

sobrement,
vibrant sur
note basale.

S’assemblent alors
des états du soi
en une ramure

apte à la
facétie
du quatrain

Pétrir le soi
porte joie
à la substance.

Corps-éveil
résorbe sans hâte
corps-sommeil

jusqu’au
point du
lâcher-prise.


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