Enfin ! Je ne savais pas que j'attendais cet ouvrage. Alors, disons qu'il m'attendait ou plutôt qu'il attendait que je sois disponible à engranger les si nombreux acquis de sa lecture. Dès les premières pages se perçoit la maitrise synthétique toute spinoziste des acquis du premier auteur. Chaque mot est pesé. Aucun gras. Les innovations pleuvent. L'oeuvre majeure se (p)ressent. La lecture se pave un cheminement solide en acceptant de se laisser emmener pas à pas dans la construction très aboutie qui se laisse deviner à chaque paragraphe qui bifurque (à la Borgès des jardins), se ramifie, s'outille en assemblant des concepts hérités de Spinoza pour la plupart d'une façon tellement aboutie que j'en suis enthousiaste et en état de sidération face à la probable pertinence de l'assemblage. Il nous outille. Je vous lâche pour reprendre ma lecture, séquentielle, paisible, ancrée.

 En cliquant sur la couverture, la quatrième de couverture.

 

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