Le réel se fige sous la semelle nimbée.
Tout se passe à notre insu
au-dessus d’elle.
À nous d’imaginer l’azur
qui claque dans les lux solaires.
Le défaut du voir est qu’il se coupe de l’imaginaire.
(27.4.13)
Le réel se fige sous la semelle nimbée.
Tout se passe à notre insu
au-dessus d’elle.
À nous d’imaginer l’azur
qui claque dans les lux solaires.
Le défaut du voir est qu’il se coupe de l’imaginaire.
(27.4.13)