Cette aptitude
au bien-être
s’instille
petit à petit
en soi
& se reconnaît.
Des bouffées
d’essence
envahissent
par vagues
attentives à soi
le corps qui suspend
l’activité du moment
pour s’y consacrer.
Il entend
la joie proche
d’être dans une aura
mobilisatrice:
l’énergie circule,
émue,
comme si
cette évocation
encore timide
et peureuse
était une joie
sans autorisation;
comme si une
autorité supérieure
devait s’enhardir
en mettant à disposition
ces richesses,
pourtant offertes à soi.
Comme si,
le conditionnement
d’une vie.
S’en libérer ?
Prisonnier de
ses propres
interdits enfouis,
le corps-âme,
cette entité tendue
vers une forme d’unité
par la détente de soi,
dépend encore
d’une aura
pour libérer
son parcours.
La mécanique
autobloquante,
une fois débusquée
& libérée
avec cette aide
au-delà
de tout qualificatif
tant sa qualité
est hors du commun,
deviendra
l’inutile
coincé
au milieu de
nulle part*.
Je me sens humble face aux chemins tracés par deux mains dans la chair. |
Deux mains tracent dans la chair un humble chemin. 31 12 14 |
14 07 11, poli le 27 08 11, le 28 11 11 & le 31 12 14
* Et nous y voilà ! Il ne manquait plus que celui-là!
Un autre texte pratique le comme si... : Sarments.