Ces crépuscules en recul
constituent jour après jour
la frange po(w)étique (ou moins !)
d'une écriture sensible
au positionnement astronomique
de notre planète
bien malmenée
par une des espèces
qu'elle héberge.
20 3 22 La suite du recueil powétique se lit dans Équinoxiales◊
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« Quand les êtres connaissent la plénitude,
ils font retour au sein de la terre,
enfouis au sein de la terre◊
Ils renaissent à nouveau*◊
Ainsi se déroule la ronde des saisons
qui n'a ni de fin ni de commencement◊ »
* C'est ainsi que Jean Lévi traduit du chinois◊ Au passage, une redondance
LA PELLICULE
Les simplifications sont à l'oeuvre◊ Les centrages personnels se multiplient dans pas mal de domaines◊ Cela me réjouit◊ L'allure que prennent les évènements dans une vie propre se structurent avec détermination, un peu comme si ces allègements s'offraient d'eux-mêmes à leur plus complet épanouissement◊
La présence à soi fait corps entendu avec l'éveil matinal, y circulant selon une vigilance empreinte de complicité réciproque◊
La simple prise de conscience de son existence au coeur de soi suffit & convient◊ Un contentement intérieur diffus imprègne chaque geste, lenteur habitée en prégnance discrète & précise◊ Il résulte sans précéder◊
Une congruence corporelle imprègne les nuits◊ Le sommeil s'en trouve davantage unfié◊
Le rangement plus rationnel du flux entrant d'impressions à partir du web aide à leur conservation & leur évite d'être perdues de vue◊ D'un mot: chronologique◊
Un centrage ancré au point d'équilibre énergétique au coeur de soi s'est assemblée en se nuançant dans le flux énergétique continu dans lequel baigne notre planète◊ La vie intérieure se tient éloignée du tumulte ébrnlant, déstabilisant jusqu'à le détruire, le monde créé en superposition à la superficie de la planète Terre, ainsi que dans la couche gazeuse dans laquelle elle baigne & se dissout désormais trop rapidement◊ Cette mince pellicule à l'horizon* stérile est en train de se détacher de sa peau terrestre◊
* GÉOL., PÉDOL. "Couche de sol, plus ou moins parallèle à la surface et se différenciant des autres couches sus − ou sous-jacentes par ses caractères et ses propriétés" Source
Source du graphique. J. Lozet & C. Mathieu, Dictionnaire de science du sol, Tec Doc Lavoisier, 2002, 3e éd.
Nous vivons sur une pellicule détachable que nos activités humaines ont elles-mêmes largement contribué à saloper◊
De reptations en appuis, le corps se coule en évoquant des incursions dans le réel contingent auquel il demeure relié◊
Assister d'ici, pour l'instant épargné, aux déploiements guerriers permet aussi de se confronter à tant d'attitudes différentes, divergentes se faufilant entre sauf-qui-peut massif vers des ailleurs, ces inconnus & des patiences attentives & vigilantes◊ Les premiers s'accompagnent, comme chaque fois, d'interminables files aux frontières physiques & fragiles du pays agressé, envahi, en passe d'être anéanti◊ Les secondes, très majoritaires, semblent pour l'instant s'effacer quelque peu dans le paysage◊
Quelques drones bien utilisés ôteraient pourtant la vie qui bat dans les quelques corps de décideurs agressants qui sont aux manettes de ces carnages répétés◊
Mais non, les loups ne se cannibalisent pas entre eux◊ Ils préfèrent (laisser) tuer les moins-que-rien (selon eux), les autres nous-mêmes quoi ! Ils sacrifient les multitudes atterrées & vendent, donnent même, des armes aux belligérants, souvent des deux côtés d'ailleurs... Au prix de carnages sans nom, que ces guerres technologiques savent savent si bien orchestrer◊
Cynismes sans frontières ! Toutes les compromissions pour autant que ce soit hors d'atteinte de chez eux... (Encore que, pour le nucléaire & les missiles intercontinentaux, rien n'est loin – Enola Gay jamais loin, en summum de l'horreur, à côté du napalm vietnamien...)◊
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Être à l'aplomb de soi.
Plénitude du passage
accomplit l'ancrage
sans autre procès.
L'échine flottante
s'invite vraiment.
& puis s'épouse l'épaisseur
écrue d'une époque.
Corps, une lassitude propice
à une extension ?
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L'éclosion première, 265m au-dessus du niveau de la mer, plateau famenno-condruzien, Wallonie.
11 3 22
Petit à petit, quelques synthèses voient çà & là je jour: Porter attention à, c'est regarder attentivement, qui est aussi l'étymologie de l'intuitio latin. L'intuition résulte du bon accord, de la complicité naturelle entre le soi intérieur, lisières débordantes incluses, & le soi conscient, en état de veille/éveil.
9 3 22
Pour Pascal Sévérac, dans Le devenir actif chez Spinoza, la distraction est un concept qui désigne une coupure de soi d'avec les autres. C'est ce à quoi cette pandémie en cours nous a contraints & ce dont nous sommes en train de sortir. Peut-être. Pas si vite, rappelle ce jour l'OMS. Le rôle du corps dans le devenir actif est à réévaluer. & tant qu'à faire, pourquoi ne pas, en sa compagnie,
- jeter les bases, établir les fondations d'une théorie de l'occupation de l'esprit,
- désigner les contours d'une véritable intelligence des affects ?
C'est à ce prix, nous dit le texte de présentation de son ouvrage chez Honoré Champion, que nous comprendrons la signification d'une pratique de la science intuitive: elle définit un rapport aux autres comme pures positivités. Cette invitation à comprendre définit bien ce qui se sent en soi de plus en plus précisément. C'est ainsi qu'un livre se révèle potentiellement digne d'intérêt. À l'occasion... (lu en attendant dans un train, au chaud, que la sncb mette en place le demi-tour du train (un camionneur n'a pas respecté le signal sonore d'un passage à niveau à Andenne - quitté Liège à 9h50; de retour à 11h45; autrement dit, environ une heure d'attente, une première, personnellement !). L'intuition constitue chez Spinoza le troisième genre de connaissance. More here !
7 3 22
Cet hébergeoir à textes fédère les sélections du carnet/des carnets qui suivent le corps. En ce sens, le recul des crépuscules est un déposoir; certains texte déposés ici trouveront à s'amplifier, ou pas !
6 3 22
Les failles ajournent les corps;
elles les contusionnent pour
n'en former qu'un seul.
Rares sont les circonstances
où elles emportent la mise.
Il est vrai qu'il en suffit d'une.
Encore tout ébouriffé par la nuit dont il taira touit, il picore dans les copeaux que le broyeur a posé là, montagne accessible• De larges bandes nuageuses laissent passer une lumière paisible à travers les fentes, en cet après de l'aube. Tout fait repas pour le moineau. Il est seul. Tout le terrain lui appartient•
Plongez-vous donc dans Paresse pour tous: la campagne électorale française au jour le jour, du premier confinement au 24 avril 2022 – un saut d'un an nous propulse quand même à J -16 du premier tour. Récit vif, jamais un temps mort. Ça vous soulagerait des non-débats entre Lemour & Zempen•
Une langue au service des idées• Ce roman est jouissif & réparateur; style envolé• Au début, Émilien Long, prix nobel d'économie, parcourt la campagne française en compagnie d'un âne tirant une roulotte: il y glane des "parrainages" dont sa candidature a besoin pour instaurer un programme autour des quinze heures par semaine• Nous assistons à la construction collective d'une équipe soudée autour d'un programme alternatif initialement cogité par le prof. Ensemble, iels constituent un réservoir de ténacités assemblées. Ce livre est ouvragé comme un diamant d'exception taillé à Anvers•
* * *
D'une vie sans ostentation
faire un silence majestueux•
* * *
Parfois il sied de savoir emmener le corps là où un penchant naturel ne le conduirait pas forcément, sans toutefois avoir de projet pour lui excédant un bien-être dont il n'antcipe pas assez le bienfait, qu'il accueillera pourtant d'une sérénité tout intérieure•
* * *
Après avoir passé une vie à faire un rempart du devoir,
en avoir ensuite largement éloigné le doigt accusateur
laisse intact le sens moral qui l'accompagnait;
la tenue philosophique qu'il revêt
en caractérise d'autant mieux les traits saillants
avant l'aube prochaine
abandonnant la vérification méfiante
de la bonne foi de chacun·e
par autant d'autres citoyen·ne·s
nullement pourvu·e·s de l'autorité déléguée nécessaire
à me faire consentir à sortir preuve (CST)
et preuve de la preuve (carte d'identité),
comme si la première ne leur aurait pas suffi,
bien sûr anonyme
& attestant que le porteur,
authentifié par l'autorité compétente,
était en droit de détenir ce "droit de passage"
pour
- siroter un café,
- prendre un repas,
- assister à une séance de cinéma et/ou de théâtre,
- visiter un musée,
pour ne citer que quelques activités suspendues volontairement
par des choix posés en conscience,
afin de demeurer cohérent
avec le sens profond d'une civilisation
qui se noie depuis quelques décennies déjà
dans ces estompements successifs de normes
rendues d'autant plus obsolètes
que la numérisation forcenée de nos vies
se trouvaient subitement en surplus jugé
- par des juristes qui ont dit le droit -
intolérables•
Ce retour ultracontemporain
à l'anonymat dans la bienséance,
que nous devons à l'arbitraire d'une autorité
qui n'avait initialement pas pris la peine
de faire suivre ses décisions par une législation adéquate
- il y avait trop de contournements, d'entourloupes, d'arbitraire donc,
qu'il aurait été nécessaire de mettre noir sur blanc -,
constitue une forme de retour à une société plus normale,
dans laquelle il m'est à nouveau loisible
de choisir de vivre le plus anonymement possible•
Ce qui ne m'empêchera pas
de continuer à porter un masque
dans toutes les circonstances
propices à me protéger d'un virus,
certes affaibli,
mais toujours bien présent•
Bien sûr il ne se tire nulle "fierté"
d'avoir (bien) vécu
- merci la sérénité arrimée au soi ! -
selon les principes que le droit dicte:
où l'aurais-je donc placée,
cette satisfaction égotiste ?
Elle a d'ailleurs consisté en
un simple contentement intérieur,
intime,
à refuser de se compromettre
dans cet nième estompement de norme•
5 3 22
S'évaporer dans la sieste
Pas s'y dissoudre; juste
quelque vapeur s'évade
le temps d'une présence
sur le débord d'une lisière.
3 3 22
7h24 Soudain notre monde appert à nouveau frêle,
nos fétus de vie à la merci des armes masculinistes.
Alimenter ainsi un feu léchant n'est jamais une bonne idée.
Les va-t-en-guerre n'ont jamais gain de cause, sur le long terme.
En attendant, des humains meurent;
ces guerroiements sèment peurs & désolations.
Mais où sont les pacifistes ?
N'intéressent-ils donc aucun média, ces apaiseurs.
8h47 Chaque jour tenir
son cépage clair,
le pied dégagé,
l'air sans fièvre à l'alentour,
eau débordante,
flamme mieux tenue.
9h02 Être attentif à la
caresse chaleureuse
que porte la lumière
au travers de la vitre
sur la peau du visage.
Paupières closes, l'offrir
à la force entrainante
du désir
de bien-être.
Ce qui affleure sur la langue,
y porter attention dans
ce temps caressé.
14h23 Un café se sirote
en pull thermisé sorti:
bienveillance solaire.
Une suite de vents
circulants modifiés
dans la couche haute
de notre enveloppe planétaire
anticipe sur la saison suivante.
Chaque geste posé avec parcinomie
en effets plus délétères
engage notre voie propre
sur un tracé favorable.
25 02 22
Ce simplifier en généralisant – expression lue dans le dossier de La Recherche sur le mathématicien Alexandre Grothendieck (1938-2014) – peut avoir de l'importance dans l'affinement de concepts en philosophie. L'affinement conceptuel est une forme de généralisation simplifiante.
Cette simplicité généralisante constitue une formulation féconde en philosophie aussi, me semble-t-il, à mesure que se constitue une arborescence conceptuelle complexe du corps. Elle s'élabore en divers endroits sur Nulle Part.
Mieux constituer la connaissance que le corps acquiert de son tao propre, de son fonctionnement propre, le place sur une voie susceptible de le libérer un tant soit peu davantage notamment de contraintes autoproduites qui sont facilement résorbables avec le temps et si le corps parvient à se convaincre de s'y appliquer.
20 2 22
L'ordonnancement d'une vie nette
ressortit pleinement de soi,
avec aléas & contretemps !
Le corps a bien mémorisé les muscles mis en action !
(À propos d'une branche basse échue, saine,
alourdie par ses sept têtes).
La main soutient la scie reçue en héritage,
posant les gestes avec la souplesse apprise
lors d'un guidage paternel.
19 2 22
Morsure, l'éveil est morsure.
Le visage accède à l'aube
tapie en lisière.
Voiles oculaires détendus
se fendent, écarts.
L'ample mouvement de couette
l'écarte du corps: le ressort est lancé,
apte au séjour apaisé.
Nous rôderons tangents
à la surface des choses;
seule quelqu'anfractuosité
que la terre nous a destinée
se faisant hébergeoir le temps d'une vie.
18 2 22
La panne dès la montée
en puissance d'Eunice,
une des cinquante Néréides,
confronte la flamme
à une errance faite enfumage !
Rare, une première. Bon à savoir.
Il règne dans la rue aux deux églises,
une rémanence certaine
d'un passage ministériel appuyé
du côté bruxellois de la Force
intacte des clochers
dans les campagnes terrées –
il y prévaut une forme
inédite de silence,
propice à emmitoufler
ces terreurs médiatiques.
16 2 22
Sans forcer les tropes,
froncer le torse
enfonçant dans les ronces:
tant d'arpents de repentirs
aux terres autrefois grasses
qu'ils ont laissé s'effriter
à coups répétés
d'épandages nauséabonds &
de défoncements d'horizons
sous le poids de leurs démesures machistes:
tant de coeurs amers
contemplent désolés
les tentacules immersives
de leurs errements cumulés.
Seules leur restaient ces terres inhospitalières:
les propriétaires terriens les vendent
au plus offrant à des citadins
qui ont voulu croire
à leurs rêves de cartes postales.
Ils avalent les kilomètres
pour un oui pour un non.
Avalée aussi la vie
en ces terres mortes
tant maltraitées
par deux, voire trois,
générations fermières;
les métayers d'autrefois,
s'y étaient pris bien mieux
pour transmettre en héritage
leurs si précieux baux à ferme familiaux !
11 2 22
Ces ombres lentes que propagent de
moindres points lumineux
dans la pièce apaisée par la nuit
suffisent à l'oeil
pour acclamer tant d'accalmies.
En clamant quelque refuge en éveil,
Tout fait eau au moulin
de nos embellies intimes,
que rien n'intimide
sur la voie du milieu
car la vacuité y circule.
Quant à se perdre en conjectures
sur toute origine
de nos sources profondes
permet de résider
en d'indicibles intuitions:
Tel un orage blanc
que nul tonnerre ne fend,
dans le silence tonitruant
d'une déferlante nocturne
où des vallées virent battre
les flancs de leurs bassins versants
par de destructrices déferlantes
rendues immanquables
par tant d'humaines discordances.
Les dévastations qui s'ensuivirent
ne trouvèrent nuls répondants
au fil d'inconclusives enquêtes
se dissolvant dans d'insipides
leurres auxquels ils ne curent pas
eux-mêmes. Trente-sept vies
dérobées & plusieurs milliers d'autres
dépourvues d'essentiels vitaux
que les flots dispersèrent sans rémission
par centaines de tonnes.
Abandonnés à leurs sorts,
sans réels rebonds possibles
qu'auraient impulsés un État absenté
par tant de mortelles dérégulations,
malgré de sommaires dénégations
en forme d'annonces médiatiques
sans trop de lendemains concrets,
trop peu de ressources furent déployées
pour éviter aux havres emportés
de se reconstruire sans que leurs habitants
ne sombrent dans des chantoirs sans fonds.
6 2 22
17h43
La fin du jour s'étire langueur
vers dix-huit heures. Aujourd'hui,
c'est dix-sept heures trente-neuf.
Vendredi dix-huit,
il aura atteint
cette balise étendue.
L'aise que prend chaque jour
à grignoter ainsi
quelques minutes de clarté subsidiaire
porte au corps tant d'éclaircies
bienvenues. Elles le soutiennent,
l'encouragent à rayonner
davantage l'énergie intérieure
qui l'essore d'un hivernage
immanquable à l'arrière-saison.
Au temps du midi déjà
s'observe le ciel:
le moindre rayon solaire
l'entraine au dehors,
un instrument choisi emporté.
L'exercice qui s'offre ainsi
l'épanouit dans la meilleure
nourriture qui soit: la lumière.
Tel jour, ce sera une distribution
de Cahiers de jadis
dans quelques boites aux lettres;
tel autre, quelques rosiers
seront approchés
par un sécateur
décroché de son suspensoir.
Leurs queues attendent la nuit,
chacune sa branche,
vigilance fébrile aux aguets:
le vent porte chahut aux ramures.
Déjà la pénombre
a avalé le méditant
sous sa robe de jais.
Le bouddha au genou
& le banc tout proche
ont pour eux cette blancheur
qui en détaille toujours
les contours, si tôt
éphémères devenus.
Attablé, voisin,
le bouddha de lave
en sa robe de mousse
dessine un profil d 'ombre,
rampe lumineuse éteinte.
Calmes instantanés
d'observations attentives
posées au coeur de soi.
Concertations sereines
alternent avec d'immersives lectures
dans Le sens de la mécanique quantique
en compagnie de Carlo Rovelli...
14h36
D'un ciel en bas résilles
l'accueil sur toit grésille:
ça pétille en vrilles.
12h57
Un corps profile habilement
ses petits étagements
de conscience vive
en absences brèves
dont les voix littéraires
le tirent, régénéré.
12h29
Stries enlarmées,
quarante-cinq degrés
inclinées vers l'est,
griffent la vitre.
Une mare de structure inégale
serpente & frisote,
soumise aux vents & aux impacts
que la pluie trace à sa surface,
timides amorces circulaires.
1 2 21
Tant de grisailles peut-être allongeront
la durée de l'arc diurne à Liège
d'une heure qu'accompagnent trente-six minutes
durant tout le mois dans lequel nous entrons◊
Chaque jour ajoute trois minutes cinquante
au précédent, à une seconde près,
en plus ou en moins◊
C'est en tenaillant le corps
à cette dilatation journalière
que s'apprécie le redressement de l'axe
de notre hébergeuse◊
Déployer notre ramure intérieure
à mesure que les jours
prennent de l'ampleur◊
(source Annuaire 2022 Société astronomique de Liège, p. 52)