L’ouverture fera le soleil.
La fenêtre sera la chaleur
caressante sur le front des senteurs
par delà l’ombre de la treille.
Et l’herbe tremblera sous la caresse
du vent qui l’émerveillera,
parcourant tout en finesse
de la terre l’indicible aura.
L’oiseau cessera la précaution
des temps mauvais dans les plumes
pour parcourir l’espace dans une dimension
renouvelée par la proximité des éclosions.
Le printemps charmera la joie.